Extrait du journal

Il m'est pas sans intérêt, en ces jours où l'on célèbre le souvenir d'Henry Becque, de citer une lettre que Rodin écrivait deux mois avant le 10 novembre 1908, à Sardou : a Cher grand maître, lui disait-il, les échos nous rapportent l'heureuse nouvelle de votre complet rétablissement. Je partage l'allégresse - générale, et vous envoie, cher maître, mes félicitations et mes vœux sincères pour le'maintien de votre bonne santé. J'ai aussi à vous exprimer ma satisfaction pour la proche solutipn de l'affaire du monument de Becque. C'est bien à vous que revient la part essentielle de ce succès. Permettez-moi de vous renouveler, cher grand maître, l'assurance de mes sentiments de vive et affectueuse gratitude. »...