Extrait du journal

La lettre adressée par M. Ley au ministre du Travail assurait que les ouvriers belges ne s'opposaient pas à la suppression de la prime de présence. A ce sujet, le trésorier du syndicat socialiste de Mouscron a tenu à préciser que les frontaliers belges, jouissant, d'une situation privilégiée en raison du bénéfice du change et du coût de la vie en Belgique, auraient pu accepter une réduction de salaires de 4 % s'ils n'avaient pas le souci de faire aboutir les revendications des ouvriers françàis qu'ils trouvent pleinement justifiées....