Extrait du journal

Li ILE DE BaLI n’est si parfaitement ordonnée que parce quelle elle est petite; elle donne l’impures1 scion d’unité avec ses forêts, ses collines, ses cascades, ses temples et ses sculptures, ses chaumières, ses champs de blé et ses marchés. Rien ne choque le regard et ne donne l’impression de ne pas être à sa place. Le Gouvernement Hollandais ne permet pas à des industriels étrangers de s’y installer et 1 île n’est pas un pays d’extension pour les missionnaires. L’acquisition de terres n’est peint facile pour des étrangers, même s’il s’agit de concessions agricoles. Le commerce est aux mains des Arabes, des Musulmans Guzrathi et des Chinois. Ils sont beaucoup plus en harmonie avec l’aspect général du pays que ne le sont les filatures de jute qui accablent si douloureusement le cœur même du Bengale, chassant ses temples loin des rives sacrées du Gange que ces filatures déshonorent. A Bah, les villages sont administrés par les villageois eux-mêmes; les méthodes de mise en valeur des terres et d irrigation sont excellentes ; le rendement des récoltes est, dit-on, comparativement plus élevé que partout ailleurs....