Extrait du journal

Pour eux, tout est humain ; ils retrouvent , leurs larmes dans les yeux attendris des phoques et des chiens. Voyez là-dessus les belles mélopées de M. Maurice Barrés. Ils essaient Se surprendre partout cet esprit qui, pour eux, sommeille dans la- pierre, rêve dans la pailte et s'éveille dans l'animal. Mais ils méprisent, au profit des sentiments qui troublent et des passions qui égarent, cette noble raison, apanage de l'homme et le seul instrument que nous- abandonnent les dieux pour lîous égaler à leurs lois....