Extrait du journal

Or, désireux, en tout et toujours, de défendre les intérêts du public, d'un public plus docile et plus doux qu'on ne le pense, d'un public qui fait la prospérité des courses, qui paye les prix, les écuries des propriétaires, la cagnotte du mutuel et les superbes propriétés de MM. les donneurs, je crois qu'il est du devoir des comités des sociétés sportives de prendre en main la cause de cet infortuné public, de le garantir dans la mesure du possible et d'essayer de l'empêcher de tomber dans les pièges de toute nature qui sont tendus aussi bien au fifty qu'à la pièce de cent sous. J'ajouterai même que la pièce de cent sous est la seule qui ait le don de m'émouvoir : le fifty se défendra tout seul....