PRÉCÉDENT

Je suis partout, 3 mars 1944

SUIVANT

URL invalide

Je suis partout
3 mars 1944


Extrait du journal

tingue plus la lueur parmi les té- fut donnée la contravention ne dé-, r^le dévolu aux tribunaux que, par une loi récente, on a prévu, pour tous les cas. une possibilité de transaction. B n’y avait, jusqu'ici, dans notre code pénal, que trois exceptions au principe de la su bordination de l’intérêt privé A l’intérêt général. Le désistement du parquet n’était admis que dans les affaires d’adultère, de diffama tion et de délit de chasse. B est maintenant prévu en matière d’in fraction au rationnement. N’est-ce pas la preuve que la justice se reconnaît impuissante et s’en re« met à l’administration des soins de transiger à sa place ?...

À propos

Anticommuniste, profasciste, antisémite et positivement favorable à Hitler, Je suis partout est le journal d’extrême-droite le plus violent jamais publié en France. Si violent que son directeur Arthème Fayard, fondateur des éditions Fayard, décide dès mai 1936 de cesser sa parution. À sa mort en novembre 1936, le journal est toutefois relancé par son fils et Pierre Gaxotte, futur membre de l’Académie Française.

En savoir plus
Données de classification
  • marcel montarron
  • bessand-massenet
  • la fontaine
  • stendhal
  • klotz
  • oustric
  • cottin
  • delauney
  • chur
  • floriot
  • france
  • palais
  • alle
  • paris
  • trinité
  • nettuno
  • rome
  • halles
  • maia
  • normandie
  • faculté de droit