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Je suis partout, 28 juillet 1944

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Je suis partout
28 juillet 1944


Extrait du journal

Le 26 juin 1944, la L. V. F. devait quitter ses posi tions de combat pour revenir à l'arrière. A cette occasion le général-major Offchmanntavait adressé à nos héroïques légionnaires un ordre du jour nui se terminait par ces mots : ” v Plein de rewpeel, non* non* souvenons des camarades tombés, qui restent pour nous l’obligation et la stimulation de vaincre. Nous exprimons à la l-égion nos sincères voeux pour les succès d’armes ultérieurs ainsi que pour la bonne santé de leurs proches parents. .Nous garderons toujours un bon et fidèle souvenir de la Légion. Vive la Légion ! Cependant, au lieu de se replier, la L. V. F. se trouva, par suite des circonstances, engagée dans une nouvelle bataille. Faisant face à un ennemi puissant, la L. V. F., une fois de plus, se couvrit de gloire. C'est le récit de cette bataille que le général Puaud vient de faire au comité central de la L. V. F. et que nous sommes autorisés à publier ici en exclusivité....

À propos

Anticommuniste, profasciste, antisémite et positivement favorable à Hitler, Je suis partout est le journal d’extrême-droite le plus violent jamais publié en France. Si violent que son directeur Arthème Fayard, fondateur des éditions Fayard, décide dès mai 1936 de cesser sa parution. À sa mort en novembre 1936, le journal est toutefois relancé par son fils et Pierre Gaxotte, futur membre de l’Académie Française.

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