Extrait du journal

La fête des Iliras. SUITE DE LA TROISIEME JOURNÉE. Valenciennes, 13 mai. On ne s’est pas borné à faire figurer l’un après Vautre vingt deux chars, chargés de personnages historiques, et le triple do groupes à cheval. On a voulu donner à cette immense procession un sens qui se gravât dans l’imagination populaire, et re lier cuire eux, pur une pensée commune, tous ces tableaux d’histoire. Ce n est pas seulement une heu reuse idée, c’est l’infaillible moyen de donner une admirable unité au cortège, et de réussir, par l’harmonie de l’ensemble, a donner plus de relief et de valeur à chaque détail. Il a donc été décidé que le cortège des Incas représenterait la marche allégorique des peuples conduits par la civilisation à la concorde universelle. Groupes et chars n’ont plus dépendu dès-lors de lu fantaisie individuelle; il a fallu «lue chacun d’eux eût une signification incontestable et évidente, en rapport avec l’objet du eorlégo, qui était de représenter tous les Ages de l’humanité, en les personnifiant dans un grand homme ou dans un peuple, Ce n’est doue pas une...