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L’Ami du peuple, 9 novembre 1930

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L’Ami du peuple
9 novembre 1930


Extrait du journal

d’Ausset, de sa femme et de leurs trois fillettes, un groupe attend devant la ferme de L'Ami du Peuple, l’arrivée de M. Guillon. Il y a là le président du conseil général de Tarnet-Garonne, M. Demarty, directeur des services agricoles; M. Soussirac, maire de Reyniès, des amis d’Ausset qu’il a sauvés... Quand M. Guillon arrive, tous ont déjà visité la ferme, tous en ont admiré le coquet aspect et tous aussi vont retrouver, dans les paroles de M. Guillon, l’expression des sentiments qu’ils ont éprouvés eux-mêmes. Déjà, à l’examen de cette première construction, M. Guillon peut non seulement rendre hommage à la générosité du donateur, à la science de l’architecte et à la maîtrise de l'entrepreneur, mais il signale tout de suite combien, pour aider à la solution du problème de la reconstruction, il y a là un exemple, un modèle qui peuvent inspirer toute l'œuvre. VOIR LA SUITE EN DEUXIEME PAGE...
L'Ami du peuple (1928-1937)

À propos

L’Ami du peuple est un quotidien français fondé par le parfumeur François Coty, en vue de contrebalancer l’influence de L’Humanité, qu’il jugeait « trop communiste ». Son très faible coût le destine aux classes moyennes, à la petite bourgeoisie, aux retraités et aux anciens combattants, un large groupe lui permettant d’atteindre un million de lecteurs en 1930, mais suscitant aussi l’hostilité d’autres journaux parisiens – qui vont poursuivre Coty, sans succès.
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