Extrait du journal

C'est ce qui ressort d'un curieux Jugement rendu par le tribunal de Vienne (Isère) à propos d’un accident de ce genre, survenu en 1923 dans cette ville. Projetée par la roue arrière du véhicule de M. Domari, une pierre de la route avait brisé la devanture d’un magasin d'alimentation. L’automobiliste, bien entendu, soutenait le cas de force majeure. Le tribunal n’en jugea pas moins que, mise en mouvement! par l’homme, et sous sa direction, la voiture n’était plus somme toute que le prolongement de son bras et de sa volonté." Cause agissante, l'homme était à ce titre responsable d’un dommage occasionné par sa faute, sa négligence ou son imprévoyance....