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L’Écho d’Alger, 5 février 1926

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L’Écho d’Alger
5 février 1926


Extrait du journal

Il ne faut pas « embêter » le contribuable, dit M. J. Gignoux dans la Journée Industrielle, c'est d'une élémentaire prudence. Cela ne signifie pas pourtant autoriser ceux qui peuvent payer à ne pas le faire; cela veut dire : ne pas forcer le taux de l'impôt parce que (les expériences abondent) ; il produit alors moiris ou'un impôt raisonnable; ne pas multiplier les taxes et les règlements, contradictoires ou inutiles parce que sous leur effet le contribuable s'exagère sa charge réelle et s'insurge ; donner enfin l'impression qu'on demande au dit contribuable le minimum, grâce à une gestion publique sévère et intègre....

À propos

L'Écho d'Alger était le grand quotidien de l'Algérie française. Fondé en 1912 par Étienne Baïlac, journaliste français né en Algérie, il fut le premier journal colonial à utiliser des photographies de presse. Le journal eut pendant longtemps une sensibilité de gauche, et prônait ainsi le dialogue entre patronat et classe ouvrière en plus d’être favorable à une égalité accrue entre arabes et français. Plus tard, pendant la guerre d'Algérie, il devint le farouche défenseur de l’Algérie française.

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