Extrait du journal

si les piétons peuvent se conten- S ter de la moitié de ces surfaces et de moins, parfois, pour les besoins de la circulation, qu'on ne leur en, réserve pas davantage, mais que la partie dont ils'n'ont que faire, reprise aux. commerçants, qui l'occupent sans droit, r soit. rendue, à la circulation des i voitures. On pourrait élargir ainsi t de deux mètres la surface carros- c sable de certaines voies étroites, (iè dix mètres celle de voies beau- . coup. plus larges; < > Ce raisonnement est tellement Hgoureux qu'on s'étonne de n'y pas souscrire d'enthousiasme. C'est que l'on voit bien que les mesures qu'il faudrait prendre r pour s'y conformer porteraient j atteinte à certains aspects de Pa- c ris,. qui sont, si caractéristiques c que le seul fait de les modifier se- e rait une sorte d'irrémédiable mu- d tilation des paysages de notre 1 ville. Il faudrait tout d'abord supprimer les arbres de nos boulevards et de nos avenues. En effet, il est impossible de diminuer la largeur des trottoirs, sur les voies plantées, sans toucher les plantations....