Extrait du journal

vomir une course r ouve;v\ Un souvenu m * vient d'une pat;e •le Carlyle. En qui faut-il espérer ? H nous répond : <« Si l’on considère ila ronde la b ç/ante inanité du inonde, paroles de petit sens,actions de petit mérite, on aime à réfléchir sur le grand Empire du silence. Les nobles hommes silencieux, dis persés çàct là, chacun dans son dé parlement.pcnsantsilencieusement, agissant silencieusement, dont au cun journal du matin (ni du soir) ne fait mention ! Us sont le sel de la terre. Un pays qui n’a que peu ou point de ces hommes est dans une mauvaise voie. Comme une forêt qui n’aurait pas de racines, qui au rait tourné toute en feuilles et en branches, devrait nécessairement bientôt se dessécher et n’être plus forêt. Malheur à nous si nous n'a vions rien que ce que nous pouvons montrer ou dire. Le Silence, le grand empire du silence : plus grand que les étoiles, plus profond que les royaumes de la mort! Lui seul est grand ; tout le reste est petit. Le silence ! n’est-ce pas que ce Carlyle en parle d’une façon saisis santé, et comme sous ces paroles, d’une bizarrerie qui nous déroute, il y a, pour peu que vous vouliez y ré fléchir, un sens profond, un ensei gnement, une forte leçon. Oui, ce...