Extrait du journal

N’oublions pas, en effet, la baisse catastrophique de ceux-ci. Comme le rappelle le Syndicat central des agriculteurs de France, — lequel, je pense, n'a rien des truculentes des tarariens à la Dorgôres, — le blé est à 7«» francs-papiers, soit 44 francs-ors, rentre 27 en 1913; l’avoine à 40 francs-papiers, soit 8 francs-ors, confire 20; le vin à 55 francs-papiers l'hectolitre, soit 11 francs-ors contre 12; la laine à 4 francs-papiers le kagramme, soit 0 fr. 80 or, contre 4 fr. 70. Au total, le paysan vend ses produits au coefficient 2 à 2,5, et il achète tout ce qui lui est nécessaire au coefficient 5 îi 7, à savoir : les engrais, l'électricité, les outils, les fers ù chevaux, les articles de charronnage et de bourrellerie, les machines agricoles. La situation est vraiment terrible....