Extrait du journal

Comme toujours, M. Mussolini a adopté le ton véhément. Il a évoqué l’histoire du Piémont, berceau de. l'Italie, et glorifié l’œuvre du fascisme en Afrique, en Espagne, en Albanie puis, passant à la situation actuelle, il a constaté que des millions d’hommes se demandent : « Sera-ce la paix ou la guerre ? ». Il répond : « Il n’y a rien qui justifie une guerre universelle, mais des nœuds de conflit doivent être tranchés. » Il ne dit pas comment et ainsi qu’à l’ordinaire, il s’abstient de toutes suggestions, mais il exalte l’axe en annonçant la prochaine conclusion die l’alliance militaire avec le Reich et à cette alliance, il assigne comme but la défense de la paix dans la justice....