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La Fronde, 2 octobre 1899

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La Fronde
2 octobre 1899


Extrait du journal

A mon vif regret, vous avez, l'autre Joui-, interrompu l'office, mais c'était l'OUI' nous conduire chez un matador dusse. Deux femmes charmantes vous servaient de guides, deux femmes qui Représentent la Femme, telle que vous la êve/., deux femmes que vous nous offrez lei, exemple. « N'imaginez point des R..un, i ies de la décadence, éprises d'émotions de cruauté, mais deux vraies FranÎ lises, de ce temps-ci, telles que la race, fafnnemcnt, le respect de soi, en forment encore, Dieu merci, quelques-unes. « L aventure de Heverle les avait jetées Bans un vrai chagrin, et elles étaient allées à Bayonne prendre des nouvelles du héros. Elles souhaitaient renouveler la visite, et le secrétaire (1) du matador daigna s'informer « si ce zèle méritait d'être récompensé et si le blessé pourrait les .avohser d'une audience. » Et l'une de ces vraies Françaises soupirait dans les angoisses de I*attente : « Mon Dieu ! pourvu qu'il ait sa mèche sur le front ! »...
La Fronde (1897-1929)

À propos

La Fronde est un journal quotidien féministe fondé à la fin du XIXe siècle par Marguerite Durand.

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