Extrait du journal

« Nous n’examinerons pas. dit-elle, si la conduite du général de Courcy devait le mettre a l'abri de tout soupçon. C’est une appréciation de M. le ministre de la guerre, que chacun est libre d’accepter ou de repousser et que le ministre do la guerre n’a pas toujours partagée lui-même, puisqu'il a invité télégraphiquement Tu générai de Courcy a renvoyer ces pièces qu’on l’accusait d’avoir emportées. Ajoutons que le télégramme du générai Wam.-t, dont pur un singulier oubli on néglige de nous donner la date, n’est rien moins qu’explicite. On a retrouvé les ratifications. Les pièces militaires sont à Hanoi, Les conventions additionnelles sont, « sans doute », * Paris. Y sont-elles Le ministre qui doit le savoir ne le dit pas luis, dans sa dernière phrase, le général Warnet rctir?-t-il l’accusation relativement a toutes les pièces ou seulement à ces pièces-la ! Les pièces militaires sont à Hanoï. La déplorable dépêche adressée en juillet par le général de Courcy au général Warnet y est donc? Mais comment sc fdh-ti que le général Warhct ne l’y ait pus trouvée tout d’abord? Encore une fois, nous demandons la date du télégramme. En d’autres termes, nous tenons à savoir si les pièces en question n’ont jamais quitté Hanoï, ou bien si elles y sont revenues. On a remarqué sûrement cette phrase de la note : « Peu de temps après» les archives étaient « reconstituées. »...