Extrait du journal

Quitte à tomber dans la redite, on ne peut pas ne pas protester une fois de plus contre ces méthodes invraisemblables qui, à chaque veille d’échéance, font demander, le couteau sous la gorge, aux représentants du pays les plus graves décisions. Il est entendu que ceux qui les demandent liquident la situation de leurs prédécesseurs, mais tous, à titre collectif, sont responsables peu ou prou de ces mœurs politiques qui, éternisant la discussion des problèmes essentiels dans les congrès, les clubs, les parlotes de tous genres, réduisent, faute de temps, le Parlement au rôle d’endosseur forcé des erreurs ou des impuissances des partis....