Extrait du journal

Je ne crois pas, au reste, que Guérin s’attende à ce qu'on prenne au sérieux, malgré les artifices typographiques et l’énormité du titre dont il la surmonte, la plaisanterie qui consiste à me repré senter comme le complice d’un agent de la Sûreté générale. % Un simple complice! fi donc ! Pourquoi pas un agent, un agent com* plot, avec l’indication du service et la mention du numéro? C’était le mêm» prix. Tout cela n’est, comme on dit, que du battage et n’a pas d’autre but que do donner le change au public. Guérin suppose, en effet, que, pendant qu’ils liront ces balivernes, les lecteurs oublieront les explications qu’ils atten dent et qu’on ne leur donne pas sur les faillites, les escroqueries, les abus de confiance et les faux dont j’ai parlé, non pas, ainsi que le prétend le maître fourbe, d’après des brochures anonymes, mais d’apres des documents judiciaires authentiques, comme, par exemple, * rapport de l’expert Loubery......