Extrait du journal

Le pesant honneur d'une guerre Que fait ton père... et que je fis; Et leur sang, qui rougit k route Ou qui brûle te sol glacé. Enfant, empêchera sans doute Que plus tard te tien soit versé I Quand, su cours de ta promenade, Tu croiseras, quelque blessé, Pauvre guerrier, pâle et malade, Qui chemine d’un pas lassé, { Avec l’élégance coquette , a . De ton plus simple mouvement. Porte la main à ta casquette. Plus ou moins militairement, Et salue en pleine assurance Cet humble soldat, mon enfant Car en combattant pour la France; C'est ton aveni* quïl défend 1 Jacques NORMAND. Avril 1913. f|i...