Extrait du journal

par hasard que j’ai ou l’honneur de con naître M. Degrauilie. Tout de suite, j'ai apprécié sou caractère droit et lier. Nous nous sommes liés comme ou so lie entre hommes. Et il m'a invité à venir chez lui. Jo vous ai vue. Je ne vous ai pas aimée tout de suite; mais j’ai pensé quo je serais heureux et fier si j'étais aimé do vous. Et c'est de celte peusée qu’est né mon amour. Vous ne ressemblez pas aux autres jeunes filles, et vous avez ù la fois des allures graves et des habitudes do liberté qui étonnent tout d’abord. J'ai deviné que, n’ayaut pas do mère, vous vous étiez éle vée un peu par vous même. Et je vous en ai respectée davantage. Maintenant, je vous dis franchement que je vous aime. Je ne vous dépeindrai pas plus longue ment ma passion. Je vous aime. Ce mot dit tout. Si vous voulez être marquise d'àneas, vous ferez de moi un homme heureux entre tous. Si vous voilez que j’ettende plus longtemps votre décision, je l’attendrai respectueusement. Si vous me repoussez, je ne vous on resterai pas moins dévoilé, vous aimant dans l’ombre, .toujours prêt à vous donner ma vie... Maintenant, mademoiselle, j’attends mon arrêt... Malgré elle, Geneviève avait été émue par cette déclaration si loyale, si simple ment dite. Elle crut que le marquis l’ai mait vraiment et elle ne voulut pas lui causer une peine trop vive. -- Monsieur le marquis, dit-elle, vous m’avez demandé a me parler. Vous m’a vez ouvert votre cœur. Je ferai comme vous. Et si je no puis vous donner mon amour, je vous donnerai, du moins, une preuve de mon estime. Je ne veux pas qu’a près ça. que je vais vous dire, vous cessiez devenir don notre maison,...