Extrait du journal

33 % à celui que donne la combustion di recte. Or, en 1913, dernière année normale, nous avons, consommé 66 millions de tonnes de charbon. Sur ce chiffre, 29 millions ont été prie par des industries qui n’utilisent pas encore les nouveaux procé dés signalée précédemment, mais qui pour raient en tirer tout le bénéfice. On peut dé duire de la qu’une économie d'une dizaine de millions de tonnes serait la conséquence . de l'abandon des errements actuels. La réduction de consommation ainsi réa lisée serait, on le voit, considérable. Nous pourrions, d'autre part, combler une grosse partie du déficit de notre ex traction en nous décidant à exploites* A fond toutes les ressourcée en combustibles de notre soua-soL Nos houillères du Nord et du Centre ne sont pas, en effet, nos seules richesses en charbon. On le savait. Mais on « réservait l’avenir » en vertu de la belle loi du moin dre effort qui pousse A ne pas augmenter la production pour éviter de surcharger le marché. Aujourd'hui, les mirifiques pratiques du malthusianisme économique disparais»...