Extrait du journal

VOIR voulu sauver la société logeais un peu ces idées, mais te «t ee K n’aurais jamais cru, je ne croie pas qu’il ait pu taire ce dont on l'accuse. A propos de la malheureuse mise Jean de Koven, qui alla si bénévole ment au rendez-vous du sinistre Weidmann, rencontré dans le hall d’un hôtel, j ai parlé de l'excès de liberté laisse à certaines jeunes tilles, sous prétexte de modernisme. Au risque de paraître atrocement vieux jeu, je pense, je l'avoue, qu’auesi longtemps au moins que les en fants n’ont d'autre ressource que les largesses de leurs pères, ceux-ci de vraient exercer un droit de regard sur ce qu'ils font de leur oisiveté. Sans doute, dans leur entourage, on doit parler aujourd'hui de « pau vres enfants qui se sont laissé en traîner ». S'ils avaient été pauvres ils auraient dû travailler, et ils n'au raient pas eu le loisir d’aller faire des filatures en province pour le compte d'une Société soi-disant poli tique. ^...