Extrait du journal

Eh bien, si un de nos éditeurs er veine d'exotisme s'avisait d'aller pêcher, par delà l'Atlantique, .ce poèm< du dollar, pour en faciliter aux Français l'intégrale lecture; je suisbiec sûr que le libraire en question ferait « un four B plus retentissant que tous ceux de M. Bergerat. Nous avons pris. à connaître la vie d'Edispn, ou d< Mackay, un plaisir extrême, mais complètement désintéressé. Nous adp. mirons ces gens, capables, d'une si ta belle énergie dépensée à s'enrichir. Mais nous ne les envions pas un instant. Nous ne souhaitons pas d'être capables de les imiter. Il n'est pas un jeune homme, en France, qui n'ait à une heure de sa vie souhaité de parvenir à la gloire d'un Hugo ou d'un Napoléon. Mais personne, chez nous, n'a envié, que de très loin, le succès fabuleux et démesuré d''un~de ces rois tr de l'or qui gagnent en une seule minute plus d'appointements qu'un Français moyen en toute sa vie.. Et parce que cela est à notre honneur, il n'est pas défendu tout de même de le constater....