Extrait du journal

Le groupe radical-socialiste a pris, sur le problème des dettes, une position parfaitement nette, conforme à une doctrine maintes fois exprimée à la tribune : nous savons qu’un règlement est nécessaire, mais nous ne voulons pas être obligés de continuer nos paiements aux Etat^-lV's. dans l hypothèse où l’Allemagne serait défaillante. Ce sont — je l’ai rappelé dons le Soir — les déclarations mêmes qu’à la tribune de la Chambre, en 1924 et en 1926 j’ai apportées moi-même au nom du parti devant M. Clémentel et M Caillaux, ministres des Finances....