Extrait du journal

ue der èie expérience vient de faire disparaître l’obstacle que iveunrnent néerlandais avait »u créer par l’vire d'une négociadirecte avec la Belgique. ous espoir d'arrangement après des tentatives si souvent et si ment répétées, ne sera.eut aujourd'hui qu’uneillusiou ; toutajourit nouveau, qn un danger de plus. «e cabinet de Bruxelles, par sa note du 5 octobre, a réclamé de pince f t de la Grande-Bretagne l’accomplissement de la garantie se. Plein de confiance dans la haute loyauté de ces gouverne11 dans les assurances qu’il avait reçues, il s’est abstenu de fixer celte note le terme passé lequel la Éelgique, en cas d’inaction instances, devait se considérer comme abandonnée à elle-même, peu de jours nous 'épatent de l’époque de l’année où l'emploi des moyens efficaces de contrainte devient impossible, et aucune mecoercitive u est encore commencée. -e nouveau ministère n’a consenti à subir la responsabilité de sa 3n qu'avec la ferme résolution d’accrurfuir les grands devoirs - lui impose. Le malaise intolérable du pays, la résistance chiaour plus prononcée du gouvernement néerlandais, et la saison ée à laquelle nous touchons, ne permettent plus au gouvernement de laisser subsister des doutes sur le terme où commencera pour défaut de l’intervention des puissances, l’impérieuse obligation loyer ses pi optes forces. j conséquence le soussigné a l’honneur de confirmer à S. Exc. duc de Broglie la déclaration qu’il lui a faite, que son rouvert sera dans l’impossibilité absolue de prolonger l’attente dans le il se trouve au-delà du 3 novembre prochain. Que si ce jour sans que la garant * stipulée ait reçu son exécution ou au moins amendement d’exécution , S. M. se verra dans la nécessité de re possession par ses propres forces du territoire belge encore épar par l’ennemi. elle est donc la condition d’existence du nouveau ministère : lion du territoire pour le 5 novembre ou un commencement l’exécution , soit par l’action des puissances , soit par celle de e nationale. Il ne peut se soutenir au delà de ce terme si l’une litre de ces deux hypothèses ne se réalise pas. Ce n’est là de sa une volonté arbitraire, ni un vain engagement, c'est la loi erréi de sa position : c’est celle qu’imposent aujourd’hui en Beig tout ministère, quel qu’il soit, l’état intérieur du pays et la tes choses ^...