Extrait du journal

Quand je montai, n.* pleurez M' • Rien n < -t triste et I avenir chante. Mon corps sera sans doute lus... l.uissi z tomber l'ombre clémente. Les poèmes familiaux de Vivre, mets vent. Ils disent combien fut douce la nw son des jeunes années, embellie par le sourire toujours prêt des parents, et combien les petites soeurs y mettaient de gaieté a> leurs rires qui ne cessaient de tinter , ^ La nuit dernière, de nombreuses arrenta* | *'peureux 1 enfance, oui ^«wti tuons ont été opérée à Saint-Pétersbourg. | pourquoi, et s’égrènent en oanuava...