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L’Aurore, 16 août 1950

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L’Aurore
16 août 1950


Extrait du journal

Car Elle et Philippe souhaitaient depuis longtemps qu'il en soit ainsi La venue au monde de la petite princesse lut si aisée que la reine ne se trouvait pas auprès de sa fille au moment de la naissance. Comme il y avait eu. ces jours derniers, plusieurs fausses alertes, il avait été entendu qu'on attendrait désormais, pour faire venir la souveraine, que l’événement soit certain. Mais quand on eut cette certitude, il fut si évident en même temps que tout allait se passer dans un minimum de temps et sans le moindre risque de mauvaises surprises, i , . qu'en renonça a prévenir Bucking- *■' errer« gratinhan. Ce ne fut qu'une fois l'accou- m,"rr chôment terminé que le duc quitte d'Edimbourg téléphona, d abord au roi, en Ecosse, puis a la reine....
L'Aurore (1943-2001)

À propos

L’Aurore, ainsi nommé en référence au titre créé par Georges Clemenceau en 1897, est un quotidien clandestin, fondé à Paris en 1943 par Robert Lazurick, homme politique et membre du Front populaire. À partir de 1981, le journal paraît sous le titre Le Figaro Aurore, avec le même contenu que le Figaro.
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