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Le Bien public, 14 avril 1871

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Le Bien public
14 avril 1871


Extrait du journal

L’autre ne tait pas de lois; quand il était aux finances — c’était au temps où les Prussiens bombardaient — il se vantait d? u’avoir rien fait ; c’étai son orgueil. Il avait passé, parlé, fait des mots et s’eu vantait. Dos finances à l’intérieur il a fait un bond dès longtemps préparé ; produit-il plus? En tout cas, ce n’est guère; hélas ! le pou que c’est n’est pas bon. Les préfets : n’y touchons pas, ce sont questions do personnes, et cela veut être discuté mûrement. Un mot seulement de l’ensemble: on le dit mauvais ; nous le disons aussi ; on l’excuse par des nécessités parlementaires ; nous ne l’excusons pas du toua. Cela est mauvais, et l’excuse est comme l’acte, mauvaise....

À propos

Lancé par Henri Vrignault au mois de mars 1871, quelques jours seulement avant la Commune de Paris, Le Bien public rejoint dès sa naissance les rangs des journaux protestant contre les élections organisées par le Comité central. Interdit un mois après son lancement, le journal réapparait à la chute de la Commune. Républicain et conservateur, Le Bien public devient alors le journal porte-parole d’Adolphe Thiers. Lorsqu’il tombe entre les mains d’Athanase Coquerel en 1874, il se teinte également d’une couleur fortement anticléricale.

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Données de classification
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  • cernuschi
  • levallois
  • orléan
  • génie
  • confier
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  • lamennais
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