PRÉCÉDENT

Le Cap incomparable d’Antibes, 1 février 1885

SUIVANT

URL invalide

Le Cap incomparable d’Antibes
1 février 1885


Extrait du journal

La pauvreté est l’absence de tout luxe, la satisfaction plus ou moins incomplète des deux ou trois besoins que nous a donnés la nature, réduits à leur plus simple expression ; —elle peut ne pas être malheureuse, je la voie gaie en Italie — je l’ai vue gaie en France, lorsqu on n’avait pas empoisonné les esprits d’idées fausses, lorsqu’on buvait joyeusement le dimanche aux barrières de Paris un peu de vin rose d’Argenteuil. — Elle est devenue triste, envieuse, irritée, méchante, depuis qu’on boit tous les jours de l’eau-de-vie et de l’absinthe, en même temps que les exagérations, les mensonges, les folles espérances versées par les bavards et les hâbleurs....
Cap incomparable

À propos

Le Cap incomparable d’Antibes est un hebdomadaire ayant paru entre 1884 et 1885. Cette publication spécialisée dans le luxe est dirigée par la comtesse C. D. Coote.

En savoir plus
Données de classification
  • etranger
  • cap d'antibes
  • italie
  • paris
  • argenteuil
  • france