Extrait du journal

La voici : « Malgré toutes les belles promesses, rien n’est améliore faute de sous. La situation est la suivante : le cultivateur a sa terre, son cheptel, son matériel, mais le crédit est mort et il lui faut payer comptant son personnel, ses semences, ses engrais et attendre. Attendre la récolte et ensuite que I Office du blé et la sucrerie paient quelques mois apures. Toutes les formes actuelles de crédit agricole sont inopérantes et ridicules. Elles sont aussi surtout tardives. Il y a bien les crédits de campagne ouverts par la Banque de France : 3 fois 3 mois à 2 pour 100 sous forme d escompte d’effet à deux signatures. Ces crédits ne profitent qu’à quelques privilégiés....