Extrait du journal

A la bonne heure! L'arbre cette lois n'aura p s caché la forêt. Dertière le couple de Roussen - ou de roussins — torturant les enfants à lui matériellement abandonnés, on a vu l'institution, le, système qui permet, qui entendre les tortionnaires. Et traîné à la ban' du Conseil général de la Seine, il n'a pas trouvé u < seul avocat, non, pas même le Desprès dont les atroces plaisanteries o.it été enclouées du coup. • C'est Vaillant, comme toujours, qui a posé la question sur son véritable terrain : « Il s'agit de savoir si le départ ment (représentant ici la société) a le droit de faire d s enfants moralement abandonnés, des enfants assités et affaiblis par l'excès de travail, des outils à profit et à abaissement de salaires entre les mains d'industriels ; ou si au contraire il n'a pas le devoir de les élevr, «l'en faire des citoyens, des hommes, en leur donnant une instruction complète Y. Car tant qu'on 1 s 'ivrera à l'industrie privée en quête de bénéfices, les « propriétaires ne verro t dans ces enfants que des instruments de production dont il faut réduire au minimum le prix de revient, dont il leur est loisible d'user à leur convenance et selon les intérêts de la concurrence ». Et « la cellule, la crapaudine, 1 s barres de justice ne seront que des détails plus ou moins horribles mais inévitables dans ce mode d'exploitation sans frein qu'on veut nous peindre comme un mode d'éducation et qui est une h ,)n,te 3e....