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Le Figaro, 26 mars 1914

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Le Figaro
26 mars 1914


Extrait du journal

Il avait le gout d'admirer qui marque es êtres, de noble race. Et quand son admiration se mêlait d'amour, elle lui donnait, je le sais, je l'ai vu, des joies l'une intensité extraordinaire, les meileures qu'il connut sans doute. L'un des souvenirs les plus émouvants que je carde de lui, c'est .une certaine 'expression qui montait à son visage dès qu'il parlait de son frère, le docteur Albert Calmette. Il était si orgueilleux de ce nagnifique savant, de cet homme à arge coeur! A la pensée de cette pure et elle gloire, ses yeux brûlaient, son ;ourire devenait d'une merveilleuse tendresse. Ah ' comme il l'aimait, ce, grand frère qui l'aime si bien !......

À propos

En 1854, quatorze ans après la disparition du petit journal subversif du temps de Charles X, Hippolyte de Villemessant relance Le Figaro. Paraissant d’abord sous la forme d’une petite feuille de chou littéraire, Le Figaro absorbe L’Événement en 1866 pour devenir, sans transition, le grand quotidien conservateur que l’on connaît. Dès les années 1880, il abandonne la cause du monarchisme pour adhérer aux principes républicains.

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