Extrait du journal

Sous la première République, dit-il, les ci toyens faisaient entendre leur voix jusqu'au sein des assemblées. Aujourd'hui le peuple est tenu un peu plus à distance. On lui manifeste peut-être plus de déférence que de sympathie. C'est une faute que vous ne commettrez pas, vous, monsieur le Président, qui laissez accès auprès de vous aux délégués des travailleurs et pensez que la République n'a rien à perdre à écouter la parole de républicains et de socialistes réclamant des réformes de progrès Nous accomplissons un devoir....