Extrait du journal

D'un autre côté, l'on est hostile, par principe, à tout projet de prorogation. On déclare qu'une telle décision serai t anticonstitutionnelle, antidémocratique, et. Dieu sait quoi encore On ajoute qu'il serait toujours temps, le moment venu, de surseoir aux élections si les événements extérieurs le commandaient. Enfin, un troisième courant se dessine, d'ailleurs avec discrétion. Pourquoi, dit-on, n'avancerait-on pas les élections et n'y procéderait-on pas, après dissolution, dès maintenant et de façon brusquée ? Une telle solution assurerait une longue période de stabilité....