Extrait du journal

De fait. mon.camarade Drugeon, le grand Frédéric; ne s'était pas contenté, au bon temps des frasques juvéniles, de témoigner par une conduite accidentée de son mépris pour la vie régulière ; il était de ceux qui éprouvent le besoin de déblatérer, en toute occasion, contre le mariage : le mariage et le notariat étaient deux calices que lui présentait avec insistance la main maternelle et qu'il était sans cesse occupé à éloigner de lui, à grand renfort de gestes et de blasphèmes, j'étais UOUÙ dans mon droit en lui marquant quelque étonnement de le retrouver marié. Je le contemplai pendant deux ou trois secondes avec une attention qu'il put prendre pour de la pitié ; en réalité, je le trouvais changé: quelque chose dans sa physionomie......