Extrait du journal

"N'est-ce pas, dites, vous aimez, vous ̃aussi, les beaux paysages de France,' les grandes routes aux ombres mouvantes, les entrées de petits villages entre Je forgeron et le boulanger, la plaine onïduleuse des blés et des avoines et même les chaumes un peu mornes où les corbeaux réunissent des clubs mystérieux. Vous aimez aller, l'été ou l'hiver, à ¡pied ou en auto, humant l'air frais, les Senteurs de foin, l'odeur des étables (vous .vous arrêtez au sommet d'un vallon d'où vous découvrez la ville le ciel roule des nuages ronds comme des ballions, le clocher pointe, des fumées montent, des troupeaux passent. et la vie, .'la vie des humbles que vous apercevez travers une fenêtre que la première alampe incendie, elle vous a ému aussi, comme moi....