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Le Journal des coiffeurs, 1 juin 1849

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Le Journal des coiffeurs
1 juin 1849


Extrait du journal

C'est à merveille, repris-je en souriant, j'adore la campagne, mais le devoir avant tout, et je ne crois pas que la mode?... — Réside dans un déparlement qui a l'honneur de posséder la ville de Melun, ville qui donna le jour à Jacques Amyol, et le château de Fontainebleau dont les fastes des XVIe et XIXe siècles, pas seront encore dans les âges les plus reculés?... — Allons, mon cher, un peu de bon vouloir et vous serez content de moi, je vous emmène à une fête particulière, chez de bons amis, absolument sans façon, mais non sans recherche et sans un peu de coquetterie... Franchement : n'est-ce pas pardonnable un jour de noce ?...

À propos

Lancé en 1836, Le Journal des coiffeurs précise dans ses colonnes que le lecteur ne rencontrera pas de « digressions inutiles » mais bien au contraire de vrais renseignements autour du métier de coiffeur, de sa pratique et de son évolution. Le journal entend devenir une publication essentielle de la profession, notamment en publiant tous les mois de nouvelles créations dessinées par ses vingt-quatre coiffeurs collaborateurs. Il sera publié jusqu’en 1875.

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Données de classification
  • violard
  • paris
  • melun
  • fontainebleau