PRÉCÉDENT

Le Journal des coiffeurs, 1 mars 1855

SUIVANT

URL invalide

Le Journal des coiffeurs
1 mars 1855


Extrait du journal

neaux à la française, des conques à la Cléopâtre, et des coquilles d'or et de pourpre, dignes de Neptune,,le roi de la mer. C'était un spectacle étrange et inconnu pour les Parisiens que ces petits véhicules élégants et légers, fendant la neige avec autant de coquetterie et de grâce qu'un beau cygne glissant sur l'eau. Mais les masques^., où étaient-ils-?....Chez Musard, chez Strauss, chez Ramponneau, au Dieu vainqueur, où ils avaient plus chaud , en dansant des pas de circonstance, qu'à se -promener fanatiquement sur les boulevards par une température sibérienne. D'ailleurs, il n'y a plus de fanatisme. Le siècle est au positif, à la Bourse, au crédit...

À propos

Lancé en 1836, Le Journal des coiffeurs précise dans ses colonnes que le lecteur ne rencontrera pas de « digressions inutiles » mais bien au contraire de vrais renseignements autour du métier de coiffeur, de sa pratique et de son évolution. Le journal entend devenir une publication essentielle de la profession, notamment en publiant tous les mois de nouvelles créations dessinées par ses vingt-quatre coiffeurs collaborateurs. Il sera publié jusqu’en 1875.

En savoir plus
Données de classification
  • strauss
  • ramponneau
  • neptune