Extrait du journal

De tout jeunes enfants. Mon foyer !... c'est, là-bas VimmenSc cimetière. Je sens l’odeur des morts à cent lieues à l'entmir. Mon crâne décharné repose sur la terre, Comme un vaste ostensoir, vide de tout amour. Je brise des choraux et vide des entrailles Dans les champs de blé mx'trs amoncelant les mmi Détruisant les maisons, calcinant leurs murailles. Et n'aime que le mal qui vous ronge et vous lord. Je déteste les yeux de la fière jeunesse, C'est pourquoi je les crève et les jette au Néant Puis dans la sombre nuit, en ricanant, je blesse Mortellement au cœur, des milliers de mamans. Lorsque sur mon coursier, je traverse la plaine, fies gueux, de toute part me jettent des pavés. Car de peste et de mort est faite mon haleine, Je tue pour les plaisirs de quelques décavés. Ma giberne est remplie d'horreurs et de misère Et tel l’humble semeur, les sème à pleines mains Car mon plaisir encore, est. de voir la colère Qui fait pâlir d'effroi, les malheureux humains. J'aime à voir sur le sol, se tordre mes victimes, Les membres mutilés où le crâne enfoncé. Je vais de la vallée jusqu'aux plus hautes cimes Et ne m'arrête que lors qu'est tout est fracassé ! Hommes ! je ne puis revenir en arrière Pour réparer le mal que fai partout commis. Vous l’avez deviné : Je suis l'immonde guerre Et d'ici-bas ne frappe hélas ! que les petits...