Extrait du journal

C'était une chose furieuse, maintenant, que ce vent. Il s'engouffrait dans les ruelles qui montent aux flancs de la Butte, avec une rage de tempête, fouettait les murs, nettoyait la chaussée de ce qu'il y rencontrait, faisait de tout objet un projectile on entendait dans la nuit des choses qui se fermaient, se heurtaient, s'effondraient précipitait, avec une impétuosité inexprimable, son assaut contre le granit du SacréCœur. Il était venu tout d'un.coup et les autres avaient-beau rire, je savais que ce vent venait de la mer....