Extrait du journal

Dans ce domaine, comme dans tous les autres, nous avons introduit les procédés de l'administration française, en y ajoutant ceux de notre justice. Autrefois, le colon qui avait des difficultés avec ses métayers indigènes, qui était abandonné, trompé ou,volé par eux, trouvait une assistance immédiate et gratuite auprès des résidents chefs de province et des gouverneurs annamites. Aujourd'hui, il est contraint de s'adresser à la justice et de subir toute la procédure lente et coûteuse des tribunaux français, dans un pays où l'absence d'état civil et de cadastre rend à peu près impossible, en fait, l'application de nos lois....