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Le Mot d’ordre, 17 juillet 1885

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Le Mot d’ordre
17 juillet 1885


Extrait du journal

Comme nous le prévoyions, les journaux réactionnaires s’évertuent à nier l’éclat de la Fête nationale. Pour le Pays, qui ne peut se coas-fler de n’avoir plu» à célébrer les splendeurs du 15 août, layée a été « pieuse, lamentable ■; pour la Patrie, qui pleure »ur les mêmes ruines, la fève a été < partiuitiiercineut triste et monotone » ; la Gabelle de France déclare que « la République a été misérabêlement fêtée », et d n y a guère que le Français — où la bonne foi a t e le pu s’égarer? — qui avoue que < la tête, favorisée par un temps superbe, ne le cédait pas de beaucoup comme animation à ses camée »....
Le Mot d'ordre (1877-1922)

À propos

Le Mot d’ordre, initialement paru pendant et après la Commune, est un quotidien repris temporairement en 1877 par le journal La Marseillaise, avant de le remplacer définitivement en novembre 1879 sous la direction de Valentin Simond. Y collaborent de nombreux journalistes et écrivains comme Edmond Lepelletier, Francis Enne ou Léon Cladel.

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