Extrait du journal

Je croyais avoir puise tous Fs arguments qui milita* nt en viveur de la liberté de l’exercice do la tué lecin.\ thèse que j’ai toujours soutenue, en me basant surtout sur la diffinuUé de « saisir v le délit et sur l’in efficacité de la loi répressive, car, pour l’appliquer et juger les délinquants, il fa dra t do celer, tri.-1er le nombre des membres du paquet et laisser opérer tranquillement les voleurs et les escarpes pour n’occuper les agents de police, à que q ;e catégorie qu’ils appartiennent qu'a la poursuite des donneurs de conseils médicaux, quelques-uns patentés, pharmaciens, bandagistes herboristes, etc , etc J ai, ici même, porte un dilemme : de yeux choses l’une, ou la loi sur l’exercice de la médecine n’est qu’une loi de protection pour le médecin, ou c’est une loi de protection sociale. Si c’est un** loi de pro tec.tion pour le médecin, tous les corps d état ont évidemment e droit d en exiger une semblable les visant spécialement, et nous voilà revenus aux m diriges et aux jurandes ; si c’est une loi de protection sociale c est une loi anti-libérale, car alors que chia- un a le droit de se vô ir en hiver comme en été et en été comme en h ver à ses risques et périls, un malade n’a plus la possibilité de se taire traiter par qui il lui plaît....