Extrait du journal

Il n'est pas très adroit de reprocher à M. 1 -.aval de n'avoir rompu ni avec Londres ni avec Rome. Si la France s était brouillée axez Londres. il n'est pas certain que les relations franco - britanniques -«‘raient aujourd'hui hui ce quelles elles sont. Si elle s était brouillée à I époque axez Rome, il est moins sûr encore qu'il subsisterait à présent la moindre chance «le renouer «les rapports francco-italiens normaux. Or. maigre tout, ces chances sont faibles mais elles subsistent. L officieuse agence italienne « Transalpine » peu suspecte pourtant de sympathie pour la France. le confirmait hier en ces termes, â propos précisément des déclarations dont il s'agit, jugée- â Rome :...