Extrait du journal

*** Iaî pays est k théâtre du « Germinal » de Zola, Un vieux factotum, qui glisse autour de nous avec une méfiance polie, tousse tout comme le Bonnemor: qui nous salua au seuil ue la grandiose épopée d(s mineurs Mois les traits propres du pays des mines et des usines manquent, à savoir b s panaches de fumée qui enveloppaient autrefois le ciel, la neige de suie fine, implacable, sale qu’ils répandaient nuit et jour sur la \ ville et. la campagne. Les cheminées se défissent, inactives ; elles se profilent au-dessus de l'horizon dans le ciel hivernal d’un bleu d’acier, comme une gigantesque palissade autour d'une prison sans issue. Toutes les roues sont immobiles. et au lieu de la chanson sifflante, bourdonnante, martelant, stridente du travail, c’est le tonnerre du canon, 10 crépitement des fusils, le sol conte srmeliîement ébranché sous la manche ininterrompue des troupes, à travers le pays noir, maintenant noirci....