Extrait du journal

« Malheureux qui donc êtes vous à nos portes, à moins d'une lieue d'ici, on se bat, le canon tonne, la fusillade pétille, des centaines d'hommes, mes frères, les vôtres, rendent le dernier soupir, des centaines d'autres, horriblement mutilés hurlent et se tordent sur la terre nue, c'est pour la France qu'ils souffrent et meurent, pour Paris, pour notre salut à tous, et vous êtes là, qui vous occupez de vos affaires, de vos intérêts, de vos plaisirs Je communiquai mes impressions au capitaine, il haussa les épaules....