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Le Petit Marseillais, 10 mai 1934

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Le Petit Marseillais
10 mai 1934


Extrait du journal

« Immédiatement, je pris le téléphone et j’appelai, mais en vain, l’appareil ne fonctionnait plus. Affolé, je revins au près de ma fcinmo qui rendit le dernier soupir. » Un crime de rôdeurs ? — Quels peuvent bien être les mobiles 7 a-t-on demandé à M. Henriot, ne se rait-ce pas le fait d’un sadique ? — Des le début cette hypothèse a été envisagée, mais immédiatement écartée après les constatations des enquêteurs, je pense plutôt au crime d'un rôdeur. « Il passe parfois des gens en quête de mendicité. Ma femme n’aimait pas beaucoup recevoir les mendiants et les écartait. C’est vraisemblablement un de ces hommes qui, la sachant seule, aura pénétré: chez moi. pendant mon absen ce, dans le but de nous voler. Lire la suite en Dernière heure...

À propos

Fondé en 1868 par Toussaint Samat, Lazare Peirron et Gustave Bourrageas, Le Petit Marseillais était le plus grand quotidien de Marseille, affichant un tirage de plus de 150 000 exemplaires en 1914. D'abord républicain radical, le journal s'avéra de plus en plus modéré au fil des ans. Dans un premier temps très local, il fut l’un des premiers journaux à publier dans la presse des récits de procès judiciaires sensationnels dès 1869, avant de s’ouvrir aux actualités internationales.

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