Extrait du journal

C'est bon, la France s'en charge. Et nous allions les avoir, ces deux millions, lorsque, subitement, un hiver exceptionnellernent rigoureux s'abat sur notre patrie désolée. Les prêtres et ceux qui leur obéissent refusent tout secours à nos bureaux de bienfaisance, parce que ceux qui les administrent sont républicains. Les riches portent aux sacristies ou au l'igaro, qui l'ait cause commune avec le clau clérical, les sommes petites ou grandes qu'ils versaient annuellement. Les « bonnes sœurs » frappent aux portes et gardent pour leurs créatures l'argent qu'on leur donne. Les caisses municipales sont presque vides....