Extrait du journal

Je désira, monsieur le Présidant, vous adresser, en ce moment de réjouissance suprême et adresser par votre intermédiaire à l'armée et au peuple français l'expression de mes plus sincères et plus cordiales félicitations. Pendant plus de quatre ans les flottes et les armées de France et de l'empire britannique ont partagé les mêmes danqcrs, les mémes souffrances et le même triomphe et, en ce moment de réjouissances mutuelles, notre coeur s'élance vers nos loyaux camarades qui se sont tenus côte à côte avec nous dans les jours sombres maintenant écoulés. Les combattants de l'empire britannique rapporteroonl chez eux un souvenir personnel et durable du courage français, de la loyauté française et de la bonté française et c'est une joie pour nous da sentir que, grârc à la direction d'un si illustre maréchal de France la consolation finale d'une victoire et d'une satisfaction complètes estet demeurera axsurée N'os deux pays, monsieur le Président, ont beaucoup donné et beaucoup souffert pour la cause de la liberté, mais nos efforts et nos sacrifices n'ont pas été vains et c'est avec une profonde gratitude que je salue le jour qui est le plus glorieux de tous les jours de l'histoire de Francr,...